đ” Femme Qui Fait Pipi Dans Sa Couche
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Enfantmignon dans une couche sale et propre avec une tétine dans sa bouche isolé sur fond blanc. Marcher Chiens Maze Game pour les enfants avec des couches isolées séparées Groupe Connect chiens avec dame propriétaires de la solution et bouffi, l'homme et faire pipi, garçon et aboiements, fille et chien souriant
Apprendreà uriner dans une couche. Ce nom de fil de discussion peut paraßtre un peu bizarre, mais j'ai un problÚme. Mes envies d'uriner fréquentes causées par une vessie hyperactive nuisent beaucoup à ma qualité de vie. Je dois utiliser les toilettes au moins toutes les 30 minutes, parfois plus souvent. J'ai consulté mon médecin et
Floriannea fait pipi dans sa culotte ! Florianne est un bĂ©bĂ© ! La maĂźtresse devrait lâenvoyer Ă la Maternelle, ils ont des couches pour la sieste des petits ! ». Je crois que câest le mot « couches » qui a dĂ©clenchĂ© ma rĂ©action violente : je me suis jetĂ© sur lui en le bourrant de coups de poings et de pieds et je lâai fait tombĂ© par terre.
Visiteur Posté le jeudi 29 septembre 2016 09:02 . mais avant je vais te langer comme un bébé et tu va rester comme ça a cote du draps jusqu a qu il soit sec voila un change nuit avec 6 belles couches en plus op un supo dans la lune avant de refermer la culotte securiser 2 biberons et maintenant dehord la pisseusee et vu que tu aime etre souillier tu va etre servi
Dansson cas, elle a fait une boĂźte Ă surprise et lui a expliquĂ© que les soirs oĂč elle ferait son caca dans le pot ou la toilette elle aurait droit Ă une surprise. Et chaque soir avant de mettre la couche elle lui demandait si elle avait envie de faire caca et lui proposait le pot en lui rappelant la surprise..Ăa a fonctionnĂ© mais je ne me souviens plus en combien de temps.
Fartman(aime les flatulences féminines) n.c. Détails. 93 - Seine-St-Denis. LE PRE SAINT GERVAIS. Bonjour je suis un homme soumis qui aime la femme a un point qu il lui sert de table basse, de Wc pour se parue dans rencontres
jai 15 ans et je porte encore des couche 24 h sur 24. Je dore encore dans un lit a barau et j'ai une titine, je sait pas nager et je fait pipi et caca dans ma couche a l'Ă©cole touts le monde se moque de moi dite moi si vous ĂȘtes dans le mĂȘme cas que moi merci. Salut je porte dĂšs couche toutes les nuit suites Ă mes opĂ©rations ,mais toi
26020Annonces femmes qui font pipi dans leur culotte france. Mesdames envie de goĂ»ter Ă votre champagne. 57 - Moselle > HAGONDANGE. Je rĂȘve de voir une femme faire pipi dans sa culotte ou sans culotte pour que je vous Je recherche Jeune femme trĂšs maigre. 92 - Hauts-de-Seine > SAINT CLOUD . Bonjour, Les femmes extrĂȘmement minces me font rĂȘver . Je les
PIvyr5u. 1đŒ đšđ” En couche chez mamiepar BabyjohnTom et Lily, 9 ans tous les deux, sont des amis d'enfance. Quand Tom propose Ă Lily de l'accompagner 15 jours chez sa mamie, elle accepte avec joie tellement elle a ente... 3Thomas et les couchespar Thomas ParteThomas est un garçon de 8 ans. Depuis tout petit, il fait pipi au lit. Alors qu'il pensait ĂȘtre seul, il dĂ©couvre qu'il n'est pas le seul dans cette situation... 7testeur de couchespar Arthurhbonjour ,ceci est une histoire fictive , créée un peut a la volĂ©e ,ce qui le vient Ă l esprit ,donc j'accepte les critiques comme les compliments !!!!!!!!!!! 8Moi, Babyboypar lulcieLouis, 15 ans, est en seconde et pratique l'ageplay depuis moins d'un an. Malheureusement il n'arrive pas Ă trouver un daddy. Mais que se passera-t-il lorsque que son pr... 12Daddy's BabyGirl [En Pause]par LĂ©na Ăla//PAUSE JUSQU'Ă 30 AOĂT 2022\\ Un endroit tenu secret depuis 30 ans, enlĂšve des femmes pour les vendre pour assouvir le dĂ©sir des hommes. Pour n'importe quel dĂ©sir des h... 14Emmie se dĂ©guisepar DaddyCool60Les enfants sont souvent pressĂ©s de grandir. Mais certains font tout pour retarder l'Ă©chĂ©ance et profitent au maximum des avantages de la petite enfance. C'est le cas d'... 16Boku wa Papa desu ka ?par TogoNogamiAshigara Minato est un jeune cadre de 24 ans. Brillamment diplĂŽmĂ© d'une grande Ă©cole de Commerce Ă Paris, il aime son travail, il fait du sport rĂ©guliĂšrement, il cuisine... 17Un confinement....enfantin par Paul-1997-Avant toute chose je tiens Ă prĂ©ciser que cette histoire est une fiction mais que je me met dans la peau du personnage et que le rythme de diffusion ne sera pas rĂ©gulier... 18LangĂ©e ABDLpar anonyzeeL'histoire d'une jeune fille, Ămilie, ayant une passion bien Ă©trange, et peu commune. En effet, Emilie porte des couches alors qu'elle ne devrait pas en avoir besoin e...
Ă 36 ans, Sophie Letourneur sort son troisiĂšme long-mĂ©trage, Gaby Baby Doll, avec Lolita Chammah et Benjamin Biolay dans les rĂŽles principaux. Rencontre avec une jeune rĂ©alisatrice qui questionne lâimage de la femme au cinĂ©ma. De ses premiers courts-mĂ©trages Ă Gaby Baby Doll, son tout nouveau film, Sophie Letourneur a toujours placĂ© les femmes au centre de son cinĂ©ma. AprĂšs avoir mis en scĂšne une bande de vingtenaires bruyantes dans La Vie au ranch, puis un groupe de trentenaires en quĂȘte du coup dâun soir dans Les Coquillettes, la rĂ©alisatrice de 36 ans dĂ©laisse aujourdâhui la meute. Et filme une femme seule qui a beaucoup de mal Ă le rester. Joyeux et rĂ©gressif, ce conte dĂ©calĂ© est lâĆuvre dâune cinĂ©aste rĂ©solument gĂ©nĂ©rationnelle, qui remet en cause les canons de fĂ©minitĂ© vĂ©hiculĂ©s par le cinĂ©ma. IncarnĂ©e par une Lolita Chammah irritante Ă souhait, Gaby, terrorisĂ©e par la solitude, se retrouve contrainte dâaffronter ses dĂ©mons quand son mec lâabandonne en rase campagne. Visiblement persuadĂ©e quâĂȘtre mal accompagnĂ©e vaut mieux que rien, la jeune femme recrute au bar du village des hommes pour lui tenir compagnie, puis se colle Ă Nicolas Benjamin Biolay, un ermite qui, lui, nâaime rien tant que manger ses Palmitos en paix. Joyeux et rĂ©gressif, ce conte dĂ©calĂ© est lâĆuvre dâune cinĂ©aste rĂ©solument gĂ©nĂ©rationnelle, qui remet en cause, par souci de sincĂ©ritĂ© plus que par militantisme, les canons de fĂ©minitĂ© vĂ©hiculĂ©s par le cinĂ©ma. âIl faut beaucoup aimer les hommesâ, disait Marie Darrieussecq dans le titre de son dernier roman. Mais il faut aussi beaucoup aimer les femmes pour les regarder comme Sophie Letourneur le fait, en cherchant ailleurs que dans de sempiternels rĂ©flexes de sĂ©duction les signes de leur fĂ©minitĂ©. Alors, pour citer Julien Clerc, quâelle convoquait musicalement dans une scĂšne mĂ©morable de son film La Vie au ranch, nous avons soumis Sophie Letourneur Ă une interview âFemmes, je vous aimeâ. Tes personnages principaux sont toujours fĂ©minins. Pourquoi? Parce quâils partent toujours de moi. Mais aussi parce que je frĂ©quente davantage de femmes que dâhommes jâai beaucoup de copines, et je suis trĂšs inspirĂ©e par elles. Dans Gaby Baby Doll, pourtant, les personnages masculins sont importants et commencent Ă prendre une rĂ©elle Ă©paisseur. Ils ne sont plus seulement des objets de discussion. Tu ne tâimaginerais jamais porter un homme Ă lâĂ©cran pour tâincarner? Elle rĂ©flĂ©chit longuement. Câest peut-ĂȘtre un peu vieillot de dire ça, mais jâai lâimpression quâhommes et femmes ne fonctionnent pas vraiment pareil. Si je dois faire un film qui part de moi, ou du moins dâun personnage qui me ressemblerait, le fait dâĂȘtre une femme me semble important dans ce que je suis. Je ne peux pas dire que je serais la mĂȘme si jâĂ©tais un homme, ce ne serait pas vrai. âLes acteurs professionnels ont presque besoin quâon soit autoritaire avec eux, alors quâavec les amateurs, câest le contraire.â PlutĂŽt que de filmer un groupe de filles, comme dans tes autres films, tu te concentres cette fois-ci sur une seule femme. En quoi lâexpĂ©rience est-elle diffĂ©rente, notamment en termes dâĂ©criture? Dans mes autres films, il y avait toujours un personnage qui me reprĂ©sentait mais, Ă un moment, lâhistoire bifurquait sur une de ses copines. Jâavais du mal Ă tenir le cap et Ă aller au fond du personnage, et jâavais aussi tendance Ă le tourner en dĂ©rision, Ă fuir lâĂ©motion. Avec Gaby Baby Doll, je me suis dit que je nâallais plus pouvoir fuir, que ce personnage devait en ĂȘtre un vrai, quâon soit Ă©mu par lui et, en gros, que je devais arrĂȘter de me fuir moi-mĂȘme. Cela rejoint dâailleurs le fait que je filmais toujours des groupes câĂ©tait sans doute pour Ă©chapper au silence, au calme. Et sur le tournage, quâest-ce que ça change de nâavoir quâune femme Ă filmer, sur laquelle repose presque tout le film? Ce qui mâintĂ©resse, que ce soit au niveau de lâimage, du son et du rythme gobal du montage, câest la composition. Jusquâici, ce sont les personnages qui me faisaient composer, dans le cadre, dans le rythme des dialogues, etc. LĂ , jâai composĂ© autrement dans lâespace, les couleurs. Jâai davantage construit le dĂ©cor. Avant, câĂ©tait tellement rempli que je devais composer avec les corps la place des personnages, leurs mouvements, tout Ă©tait trĂšs calculĂ© et prĂ©cis. LĂ , jâai beaucoup travaillĂ© ce quâil y avait autour. Autre changement, tu as cette fois tournĂ© avec une actrice professionnelle, alors que tes comĂ©diens prĂ©cĂ©dents ne lâĂ©taient pas. En quoi Ă©tait-ce diffĂ©rent? Lâacteur dont câest le mĂ©tier a besoin dâun rapport trĂšs privilĂ©giĂ© avec le metteur en scĂšne, il doit se sentir dirigĂ©, portĂ©, alors quâavec les acteurs non professionnels, câest justement le fait quâils soient tous ensemble, en groupe, qui leur permet dây arriver. Dans Gaby, câest ce que mâont dit les mecs que lâon voit dans le bar du village. Dans la vraie vie, ils sont amis entre eux, alors ils ont pris ça comme un jeu. Au contraire, plus Lolita Ă©tait seule avec moi ou Benjamin Biolay, plus elle Ă©tait Ă lâaise. Les acteurs professionnels ont presque besoin quâon soit autoritaire avec eux, alors quâavec les amateurs, câest le contraire. © Shellac Comment as-tu choisi Lolita Chammah? On est amies, câest pour ça quâau dĂ©part, je lâai quasiment envisagĂ©e comme une non-professionnelle. Benjamin Biolay aussi, je lâai connu dans la vie avant de le choisir. Câest rare que les acteurs me touchent dans un film en particulier. Par exemple, en ce moment, je pense Ă MichaĂ«l Youn. Je ne lâai jamais vu dans un film mais Ă la tĂ©lĂ©, une fois, il Ă©tait super Ă©nervĂ© et Ă©mu Ă la fois, et quelque chose mâa bouleversĂ©e chez lui. Je crois que je suis davantage Ă©mue par les gens quand ils ne sont pas en train de jouer. Une actrice est-elle une femme comme les autres? Lolita en tout cas, nâest pas une femme comme les autres! Rires. Je ne sais pas, les acteurs, câest un mystĂšre. Je nâai jamais Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e par ce quâils dĂ©gageaient. On se demande ce quâon a envie de prendre chez eux, en dehors de projeter sur eux des fantasmes. Câest pour ça que jâai toujours Ă©tĂ© plus attirĂ©e par des copines. Ă part Lolita, je nâai pas dâamis acteurs et avec ceux que jâai pu croiser dans des festivals par exemple, il y a toujours eu un filtre, quelque chose dâun peu cabotin qui ne mâattire pas du tout. Les rapports faussĂ©s, ça me dĂ©range. Lolita Chammah a-t-elle acceptĂ© sans hĂ©sitation de camper un personnage aussi peu glamour, qui piĂ©tine dans la gadoue et fait pipi en pleine campagne? Elle sâen foutait complĂštement. Elle Ă©tait dans une acceptation totale de lâimage que jâallais donner dâelle, elle avait confiance. Elle savait que ce personnage nâallait pas ressembler Ă nâimporte quel personnage fĂ©minin de nâimporte quel film français avec une jeune fille de 29 ans. Je pense dâailleurs quâelle avait envie de ça. Et ce, mĂȘme si elle nâintĂšgre pas forcĂ©ment toutes mes idĂ©es sur la question de la reprĂ©sentation ce quâon reprĂ©sente, pour qui, comment, pourquoi, etc⊠Quand elle pissait, je lui disais de ne pas penser au regard dâun homme. Câest important car beaucoup dâactrices, quoi quâelles fassent, pensent au regard dâun homme quand elles jouent, et ce mĂȘme si câest une fille qui filme. © Shellac Est-ce que tu as la volontĂ© de combler un manque dans la reprĂ©sentation de la fĂ©minitĂ© au cinĂ©ma? Je ne crois pas que ce soit ça. Câest plutĂŽt que, souhaitant faire un cinĂ©ma le plus personnel et sincĂšre possible, je ne veux pas que mes personnages fĂ©minins correspondent Ă des canons de cinĂ©ma. Je pense aussi que câest parce que je ne suis pas passĂ©e par une Ă©cole de cinĂ©ma il y a plein de choses dans ma façon de rĂ©aliser des films que je ne fais pas dans les rĂšgles de lâart. Ce truc de faire pipi dehors, ça revient quand mĂȘme souvent. Dans La Vie au ranch aussi, par exemple, lâune de tes actrices pissait entre deux voitures⊠Câest vrai que parfois, jâai tendance Ă enfoncer le clou. Sourire. En fait, les mecs qui sont excitĂ©s par une fille qui fait pipi, ça mâagace. Pourquoi faudrait-il Ă©rotiser ce genre de scĂšnes? Et puis, il faut croire que câest un sujet tabou, car tout le monde ne me parle que de ça. Dans les projections, ça gĂȘne carrĂ©ment les gens. Alors quâon voit des choses tellement pires au cinĂ©ma! Mais câest comme les rĂšgles, câest tabou, et câest hallucinant. Lâimage de la femme est encore complĂštement fantasmĂ©e et dĂ©sincarnĂ©e. Alors, câest vrai, jâai fait un peu exprĂšs dâen faire un motif de rĂ©currence. Pour le principal rĂŽle masculin, tu as choisi Benjamin Biolay, qui a lâimage dâun homme Ă femmes. Pourquoi a-t-il selon toi tant dâaisance Ă travailler avec ces derniĂšres ? Ce que jâai remarquĂ© en tout cas, câest que les mecs ne lâaiment pas. Sans doute parce que les femmes lâaiment bien! Rires. En tout cas, sur le tournage, il Ă©tait trĂšs respectueux de mon travail de cinĂ©aste. Câest aussi un homme Ă femmes dans le sens oĂč il ne sâinscrit pas du tout dans des rapports de camaraderie masculine. Je ne sais pas si jâaurais pu tourner avec Jean Gabin, par exemple. Rires. âJâaime bien ne pas trop prendre au sĂ©rieux ce que je fais, dĂ©samorcer.â Dans le film, les hommes qui raccompagnent Gaby chez elle ne sont jamais montrĂ©s comme menaçants. Pourquoi avoir choisi dâĂ©carter toute notion de danger? Dâabord, jâavais en tĂȘte un film tendre, doux. Je voulais quâon ressente une toute petite angoisse, mais sans aller vers quelque chose de trop violent. Et puis, câĂ©tait important pour moi de faire de ces personnages masculins une epĂšce dâantithĂšse de la virilitĂ©. Les hommes qui mâĂ©meuvent sont les hommes fragiles, en manque dâamour et qui lâassument. Et câest ce que dĂ©gagent mes personnages. Je voulais en faire des mecs bien. Rires. Des mecs dĂ©barrassĂ©s de lâinjonction de virilitĂ©. Si Gaby Baby Doll prend la forme dâun conte dĂ©calĂ©, son Ă©pilogue façon âils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup dâenfantsâ reste tout Ă fait traditionnel. La vie de couple et le dĂ©sir de maternitĂ© sont-ils les ingrĂ©dients indispensables Ă un happy end? Je me suis posĂ© beaucoup de questions sur cette fin, car il y a clairement un changement de ton. Il arrive progressivement tout au long du film ça dĂ©bute de maniĂšre assez expĂ©rimentale, pour glisser de plus en plus vers la comĂ©die romantique, avec carrĂ©ment des violons Ă la fin, façon musique hollywoodienne. La derniĂšre phrase, câest âOn va faire plein de bĂ©bĂ©sâ. Je me suis dit que Gaby Baby Doll Ă©tait quand mĂȘme un film trĂšs enfantin, rĂ©gressif, et lâidĂ©e de finir sur une phrase un peu dĂ©bile me plaisait. Jâaime bien ne pas trop prendre au sĂ©rieux ce que je fais, dĂ©samorcer. Propos recueillis par Faustine Kopiejwski culture-cheek
FilmĂ©es en train dâuriner dans la rue, plusieurs dizaines de femmes, dont les vidĂ©os volĂ©es ont atterri sur des sites pornographiques, rĂ©clament justice en Espagne aprĂšs le classement de leur plainte mi-mars, a indiquĂ© leur porte-parole Ă lâAFP lundi, prĂ©cisant quâelles ont fait appel de cette dĂ©cision. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les Maruxaina On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». 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Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». 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Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices.
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