đŸ” Femme Qui Fait Pipi Dans Sa Couche

Trouvezvous de meilleur pipi dans sa culotte 2022?Il est temps de passer aux choses sĂ©rieuses avec notre test et comparatif. Nous avons compilĂ© plus des Enfantmignon dans une couche sale et propre avec une tĂ©tine dans sa bouche isolĂ© sur fond blanc. Marcher Chiens Maze Game pour les enfants avec des couches isolĂ©es sĂ©parĂ©es Groupe Connect chiens avec dame propriĂ©taires de la solution et bouffi, l'homme et faire pipi, garçon et aboiements, fille et chien souriant ApprendreĂ  uriner dans une couche. Ce nom de fil de discussion peut paraĂźtre un peu bizarre, mais j'ai un problĂšme. Mes envies d'uriner frĂ©quentes causĂ©es par une vessie hyperactive nuisent beaucoup Ă  ma qualitĂ© de vie. Je dois utiliser les toilettes au moins toutes les 30 minutes, parfois plus souvent. J'ai consultĂ© mon mĂ©decin et Floriannea fait pipi dans sa culotte ! Florianne est un bĂ©bĂ© ! La maĂźtresse devrait l’envoyer Ă  la Maternelle, ils ont des couches pour la sieste des petits ! ». Je crois que c’est le mot « couches » qui a dĂ©clenchĂ© ma rĂ©action violente : je me suis jetĂ© sur lui en le bourrant de coups de poings et de pieds et je l’ai fait tombĂ© par terre. Visiteur PostĂ© le jeudi 29 septembre 2016 09:02 . mais avant je vais te langer comme un bĂ©bĂ© et tu va rester comme ça a cote du draps jusqu a qu il soit sec voila un change nuit avec 6 belles couches en plus op un supo dans la lune avant de refermer la culotte securiser 2 biberons et maintenant dehord la pisseusee et vu que tu aime etre souillier tu va etre servi Dansson cas, elle a fait une boĂźte Ă  surprise et lui a expliquĂ© que les soirs oĂč elle ferait son caca dans le pot ou la toilette elle aurait droit Ă  une surprise. Et chaque soir avant de mettre la couche elle lui demandait si elle avait envie de faire caca et lui proposait le pot en lui rappelant la surprise..Ça a fonctionnĂ© mais je ne me souviens plus en combien de temps. Fartman(aime les flatulences fĂ©minines) n.c. DĂ©tails. 93 - Seine-St-Denis. LE PRE SAINT GERVAIS. Bonjour je suis un homme soumis qui aime la femme a un point qu il lui sert de table basse, de Wc pour se parue dans rencontres jai 15 ans et je porte encore des couche 24 h sur 24. Je dore encore dans un lit a barau et j'ai une titine, je sait pas nager et je fait pipi et caca dans ma couche a l'Ă©cole touts le monde se moque de moi dite moi si vous ĂȘtes dans le mĂȘme cas que moi merci. Salut je porte dĂšs couche toutes les nuit suites Ă  mes opĂ©rations ,mais toi 26020Annonces femmes qui font pipi dans leur culotte france. Mesdames envie de goĂ»ter Ă  votre champagne. 57 - Moselle > HAGONDANGE. Je rĂȘve de voir une femme faire pipi dans sa culotte ou sans culotte pour que je vous Je recherche Jeune femme trĂšs maigre. 92 - Hauts-de-Seine > SAINT CLOUD . Bonjour, Les femmes extrĂȘmement minces me font rĂȘver . Je les PIvyr5u. 1đŸšŒ đŸ‡šđŸ‡” En couche chez mamiepar BabyjohnTom et Lily, 9 ans tous les deux, sont des amis d'enfance. Quand Tom propose Ă  Lily de l'accompagner 15 jours chez sa mamie, elle accepte avec joie tellement elle a ente... 3Thomas et les couchespar Thomas ParteThomas est un garçon de 8 ans. Depuis tout petit, il fait pipi au lit. Alors qu'il pensait ĂȘtre seul, il dĂ©couvre qu'il n'est pas le seul dans cette situation... 7testeur de couchespar Arthurhbonjour ,ceci est une histoire fictive , créée un peut a la volĂ©e ,ce qui le vient Ă  l esprit ,donc j'accepte les critiques comme les compliments !!!!!!!!!!! 8Moi, Babyboypar lulcieLouis, 15 ans, est en seconde et pratique l'ageplay depuis moins d'un an. Malheureusement il n'arrive pas Ă  trouver un daddy. Mais que se passera-t-il lorsque que son pr... 12Daddy's BabyGirl [En Pause]par LĂ©na Éla//PAUSE JUSQU'À 30 AOÛT 2022\\ Un endroit tenu secret depuis 30 ans, enlĂšve des femmes pour les vendre pour assouvir le dĂ©sir des hommes. Pour n'importe quel dĂ©sir des h... 14Emmie se dĂ©guisepar DaddyCool60Les enfants sont souvent pressĂ©s de grandir. Mais certains font tout pour retarder l'Ă©chĂ©ance et profitent au maximum des avantages de la petite enfance. C'est le cas d'... 16Boku wa Papa desu ka ?par TogoNogamiAshigara Minato est un jeune cadre de 24 ans. Brillamment diplĂŽmĂ© d'une grande Ă©cole de Commerce Ă  Paris, il aime son travail, il fait du sport rĂ©guliĂšrement, il cuisine... 17Un confinement....enfantin par Paul-1997-Avant toute chose je tiens Ă  prĂ©ciser que cette histoire est une fiction mais que je me met dans la peau du personnage et que le rythme de diffusion ne sera pas rĂ©gulier... 18LangĂ©e ABDLpar anonyzeeL'histoire d'une jeune fille, Émilie, ayant une passion bien Ă©trange, et peu commune. En effet, Emilie porte des couches alors qu'elle ne devrait pas en avoir besoin e... À 36 ans, Sophie Letourneur sort son troisiĂšme long-mĂ©trage, Gaby Baby Doll, avec Lolita Chammah et Benjamin Biolay dans les rĂŽles principaux. Rencontre avec une jeune rĂ©alisatrice qui questionne l’image de la femme au cinĂ©ma. De ses premiers courts-mĂ©trages Ă  Gaby Baby Doll, son tout nouveau film, Sophie Letourneur a toujours placĂ© les femmes au centre de son cinĂ©ma. AprĂšs avoir mis en scĂšne une bande de vingtenaires bruyantes dans La Vie au ranch, puis un groupe de trentenaires en quĂȘte du coup d’un soir dans Les Coquillettes, la rĂ©alisatrice de 36 ans dĂ©laisse aujourd’hui la meute. Et filme une femme seule qui a beaucoup de mal Ă  le rester. Joyeux et rĂ©gressif, ce conte dĂ©calĂ© est l’Ɠuvre d’une cinĂ©aste rĂ©solument gĂ©nĂ©rationnelle, qui remet en cause les canons de fĂ©minitĂ© vĂ©hiculĂ©s par le cinĂ©ma. IncarnĂ©e par une Lolita Chammah irritante Ă  souhait, Gaby, terrorisĂ©e par la solitude, se retrouve contrainte d’affronter ses dĂ©mons quand son mec l’abandonne en rase campagne. Visiblement persuadĂ©e qu’ĂȘtre mal accompagnĂ©e vaut mieux que rien, la jeune femme recrute au bar du village des hommes pour lui tenir compagnie, puis se colle Ă  Nicolas Benjamin Biolay, un ermite qui, lui, n’aime rien tant que manger ses Palmitos en paix. Joyeux et rĂ©gressif, ce conte dĂ©calĂ© est l’Ɠuvre d’une cinĂ©aste rĂ©solument gĂ©nĂ©rationnelle, qui remet en cause, par souci de sincĂ©ritĂ© plus que par militantisme, les canons de fĂ©minitĂ© vĂ©hiculĂ©s par le cinĂ©ma. “Il faut beaucoup aimer les hommes”, disait Marie Darrieussecq dans le titre de son dernier roman. Mais il faut aussi beaucoup aimer les femmes pour les regarder comme Sophie Letourneur le fait, en cherchant ailleurs que dans de sempiternels rĂ©flexes de sĂ©duction les signes de leur fĂ©minitĂ©. Alors, pour citer Julien Clerc, qu’elle convoquait musicalement dans une scĂšne mĂ©morable de son film La Vie au ranch, nous avons soumis Sophie Letourneur Ă  une interview “Femmes, je vous aime”. Tes personnages principaux sont toujours fĂ©minins. Pourquoi? Parce qu’ils partent toujours de moi. Mais aussi parce que je frĂ©quente davantage de femmes que d’hommes j’ai beaucoup de copines, et je suis trĂšs inspirĂ©e par elles. Dans Gaby Baby Doll, pourtant, les personnages masculins sont importants et commencent Ă  prendre une rĂ©elle Ă©paisseur. Ils ne sont plus seulement des objets de discussion. Tu ne t’imaginerais jamais porter un homme Ă  l’écran pour t’incarner? Elle rĂ©flĂ©chit longuement. C’est peut-ĂȘtre un peu vieillot de dire ça, mais j’ai l’impression qu’hommes et femmes ne fonctionnent pas vraiment pareil. Si je dois faire un film qui part de moi, ou du moins d’un personnage qui me ressemblerait, le fait d’ĂȘtre une femme me semble important dans ce que je suis. Je ne peux pas dire que je serais la mĂȘme si j’étais un homme, ce ne serait pas vrai. “Les acteurs professionnels ont presque besoin qu’on soit autoritaire avec eux, alors qu’avec les amateurs, c’est le contraire.” PlutĂŽt que de filmer un groupe de filles, comme dans tes autres films, tu te concentres cette fois-ci sur une seule femme. En quoi l’expĂ©rience est-elle diffĂ©rente, notamment en termes d’écriture? Dans mes autres films, il y avait toujours un personnage qui me reprĂ©sentait mais, Ă  un moment, l’histoire bifurquait sur une de ses copines. J’avais du mal Ă  tenir le cap et Ă  aller au fond du personnage, et j’avais aussi tendance Ă  le tourner en dĂ©rision, Ă  fuir l’émotion. Avec Gaby Baby Doll, je me suis dit que je n’allais plus pouvoir fuir, que ce personnage devait en ĂȘtre un vrai, qu’on soit Ă©mu par lui et, en gros, que je devais arrĂȘter de me fuir moi-mĂȘme. Cela rejoint d’ailleurs le fait que je filmais toujours des groupes c’était sans doute pour Ă©chapper au silence, au calme. Et sur le tournage, qu’est-ce que ça change de n’avoir qu’une femme Ă  filmer, sur laquelle repose presque tout le film? Ce qui m’intĂ©resse, que ce soit au niveau de l’image, du son et du rythme gobal du montage, c’est la composition. Jusqu’ici, ce sont les personnages qui me faisaient composer, dans le cadre, dans le rythme des dialogues, etc. LĂ , j’ai composĂ© autrement dans l’espace, les couleurs. J’ai davantage construit le dĂ©cor. Avant, c’était tellement rempli que je devais composer avec les corps la place des personnages, leurs mouvements, tout Ă©tait trĂšs calculĂ© et prĂ©cis. LĂ , j’ai beaucoup travaillĂ© ce qu’il y avait autour. Autre changement, tu as cette fois tournĂ© avec une actrice professionnelle, alors que tes comĂ©diens prĂ©cĂ©dents ne l’étaient pas. En quoi Ă©tait-ce diffĂ©rent? L’acteur dont c’est le mĂ©tier a besoin d’un rapport trĂšs privilĂ©giĂ© avec le metteur en scĂšne, il doit se sentir dirigĂ©, portĂ©, alors qu’avec les acteurs non professionnels, c’est justement le fait qu’ils soient tous ensemble, en groupe, qui leur permet d’y arriver. Dans Gaby, c’est ce que m’ont dit les mecs que l’on voit dans le bar du village. Dans la vraie vie, ils sont amis entre eux, alors ils ont pris ça comme un jeu. Au contraire, plus Lolita Ă©tait seule avec moi ou Benjamin Biolay, plus elle Ă©tait Ă  l’aise. Les acteurs professionnels ont presque besoin qu’on soit autoritaire avec eux, alors qu’avec les amateurs, c’est le contraire. © Shellac Comment as-tu choisi Lolita Chammah? On est amies, c’est pour ça qu’au dĂ©part, je l’ai quasiment envisagĂ©e comme une non-professionnelle. Benjamin Biolay aussi, je l’ai connu dans la vie avant de le choisir. C’est rare que les acteurs me touchent dans un film en particulier. Par exemple, en ce moment, je pense Ă  MichaĂ«l Youn. Je ne l’ai jamais vu dans un film mais Ă  la tĂ©lĂ©, une fois, il Ă©tait super Ă©nervĂ© et Ă©mu Ă  la fois, et quelque chose m’a bouleversĂ©e chez lui. Je crois que je suis davantage Ă©mue par les gens quand ils ne sont pas en train de jouer. Une actrice est-elle une femme comme les autres? Lolita en tout cas, n’est pas une femme comme les autres! Rires. Je ne sais pas, les acteurs, c’est un mystĂšre. Je n’ai jamais Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©e par ce qu’ils dĂ©gageaient. On se demande ce qu’on a envie de prendre chez eux, en dehors de projeter sur eux des fantasmes. C’est pour ça que j’ai toujours Ă©tĂ© plus attirĂ©e par des copines. À part Lolita, je n’ai pas d’amis acteurs et avec ceux que j’ai pu croiser dans des festivals par exemple, il y a toujours eu un filtre, quelque chose d’un peu cabotin qui ne m’attire pas du tout. Les rapports faussĂ©s, ça me dĂ©range. Lolita Chammah a-t-elle acceptĂ© sans hĂ©sitation de camper un personnage aussi peu glamour, qui piĂ©tine dans la gadoue et fait pipi en pleine campagne? Elle s’en foutait complĂštement. Elle Ă©tait dans une acceptation totale de l’image que j’allais donner d’elle, elle avait confiance. Elle savait que ce personnage n’allait pas ressembler Ă  n’importe quel personnage fĂ©minin de n’importe quel film français avec une jeune fille de 29 ans. Je pense d’ailleurs qu’elle avait envie de ça. Et ce, mĂȘme si elle n’intĂšgre pas forcĂ©ment toutes mes idĂ©es sur la question de la reprĂ©sentation ce qu’on reprĂ©sente, pour qui, comment, pourquoi, etc
 Quand elle pissait, je lui disais de ne pas penser au regard d’un homme. C’est important car beaucoup d’actrices, quoi qu’elles fassent, pensent au regard d’un homme quand elles jouent, et ce mĂȘme si c’est une fille qui filme. © Shellac Est-ce que tu as la volontĂ© de combler un manque dans la reprĂ©sentation de la fĂ©minitĂ© au cinĂ©ma? Je ne crois pas que ce soit ça. C’est plutĂŽt que, souhaitant faire un cinĂ©ma le plus personnel et sincĂšre possible, je ne veux pas que mes personnages fĂ©minins correspondent Ă  des canons de cinĂ©ma. Je pense aussi que c’est parce que je ne suis pas passĂ©e par une Ă©cole de cinĂ©ma il y a plein de choses dans ma façon de rĂ©aliser des films que je ne fais pas dans les rĂšgles de l’art. Ce truc de faire pipi dehors, ça revient quand mĂȘme souvent. Dans La Vie au ranch aussi, par exemple, l’une de tes actrices pissait entre deux voitures
 C’est vrai que parfois, j’ai tendance Ă  enfoncer le clou. Sourire. En fait, les mecs qui sont excitĂ©s par une fille qui fait pipi, ça m’agace. Pourquoi faudrait-il Ă©rotiser ce genre de scĂšnes? Et puis, il faut croire que c’est un sujet tabou, car tout le monde ne me parle que de ça. Dans les projections, ça gĂȘne carrĂ©ment les gens. Alors qu’on voit des choses tellement pires au cinĂ©ma! Mais c’est comme les rĂšgles, c’est tabou, et c’est hallucinant. L’image de la femme est encore complĂštement fantasmĂ©e et dĂ©sincarnĂ©e. Alors, c’est vrai, j’ai fait un peu exprĂšs d’en faire un motif de rĂ©currence. Pour le principal rĂŽle masculin, tu as choisi Benjamin Biolay, qui a l’image d’un homme Ă  femmes. Pourquoi a-t-il selon toi tant d’aisance Ă  travailler avec ces derniĂšres ? Ce que j’ai remarquĂ© en tout cas, c’est que les mecs ne l’aiment pas. Sans doute parce que les femmes l’aiment bien! Rires. En tout cas, sur le tournage, il Ă©tait trĂšs respectueux de mon travail de cinĂ©aste. C’est aussi un homme Ă  femmes dans le sens oĂč il ne s’inscrit pas du tout dans des rapports de camaraderie masculine. Je ne sais pas si j’aurais pu tourner avec Jean Gabin, par exemple. Rires. “J’aime bien ne pas trop prendre au sĂ©rieux ce que je fais, dĂ©samorcer.” Dans le film, les hommes qui raccompagnent Gaby chez elle ne sont jamais montrĂ©s comme menaçants. Pourquoi avoir choisi d’écarter toute notion de danger? D’abord, j’avais en tĂȘte un film tendre, doux. Je voulais qu’on ressente une toute petite angoisse, mais sans aller vers quelque chose de trop violent. Et puis, c’était important pour moi de faire de ces personnages masculins une epĂšce d’antithĂšse de la virilitĂ©. Les hommes qui m’émeuvent sont les hommes fragiles, en manque d’amour et qui l’assument. Et c’est ce que dĂ©gagent mes personnages. Je voulais en faire des mecs bien. Rires. Des mecs dĂ©barrassĂ©s de l’injonction de virilitĂ©. Si Gaby Baby Doll prend la forme d’un conte dĂ©calĂ©, son Ă©pilogue façon “ils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup d’enfants” reste tout Ă  fait traditionnel. La vie de couple et le dĂ©sir de maternitĂ© sont-ils les ingrĂ©dients indispensables Ă  un happy end? Je me suis posĂ© beaucoup de questions sur cette fin, car il y a clairement un changement de ton. Il arrive progressivement tout au long du film ça dĂ©bute de maniĂšre assez expĂ©rimentale, pour glisser de plus en plus vers la comĂ©die romantique, avec carrĂ©ment des violons Ă  la fin, façon musique hollywoodienne. La derniĂšre phrase, c’est “On va faire plein de bĂ©bĂ©s”. Je me suis dit que Gaby Baby Doll Ă©tait quand mĂȘme un film trĂšs enfantin, rĂ©gressif, et l’idĂ©e de finir sur une phrase un peu dĂ©bile me plaisait. J’aime bien ne pas trop prendre au sĂ©rieux ce que je fais, dĂ©samorcer. Propos recueillis par Faustine Kopiejwski culture-cheek FilmĂ©es en train d’uriner dans la rue, plusieurs dizaines de femmes, dont les vidĂ©os volĂ©es ont atterri sur des sites pornographiques, rĂ©clament justice en Espagne aprĂšs le classement de leur plainte mi-mars, a indiquĂ© leur porte-parole Ă  l’AFP lundi, prĂ©cisant qu’elles ont fait appel de cette dĂ©cision. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les Maruxaina On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. 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Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. 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