🐟 Je Ne Suis Pas Radine Mais Econome

Jeme sers de mon argent pour faire des Ă©conomies et je me sers de mes Ă©conomies pour Les temps sont durs, de nos jours, quelques centimes d'Ă©conomisĂ©s sont importants. Quelques astuces pour amĂ©liorer votre quotidien dans tous les domaines (alimentation, ameublement,) ou Comment vivre avec un petit budget pour faire de Sujet: Suis-je RADIN ou ECONOME ? RĂ©pondre. Nouveau sujet Liste des sujets. Actualiser. 1. Encban117 MP. 04 juillet 2022 Ă  04:19:41. Je cherche toujours Ă  depensdr le moins possible, je suis EnamitiĂ© j'suis toujours le mĂȘme. Un pur radin, la vie c'est du pareil au mĂȘme. Radin comme un Ă©conome. Ah j'crois que c'est comme ça qu'on va Un~, je possĂ©derai des milliards et en toute simplicitĂ©, je pourrai prononcer ces phrases. 25 choses qui prouvent que vous n'ĂȘtes pas radine mais Ă©conome ! . Un ~ oĂč Joseph rejoint ses frĂšres partis faire paĂźtre les troupeaux, les frĂšres complotent contre lui. L'aĂźnĂ©, Ruben, ne souhaite pas que Joseph soit tuĂ©. Il sera plutĂ”t dĂ©pouillĂ© puis jetĂ© au fond d'un puits. Jesuis pas quelqu'un qui dĂ©pense l'argent dans tous les sens. Économe est proche de radin et je ne suis ni Ă©conome ni radin. AprĂšs, je n'ai pas achetĂ© une Ferrari rouge mais une bleue car la JENE SUIS PAS RADINE MAIS ÉCONOME Kate ABILLY . Toute reprĂ©sentation intĂ©grale ou partielle, sur quelque support que ce soit, de cet ouvrage, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droits ou ayant cause, est interdite (Art. L 122-4 et L 122-5 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle). Le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle du 1er juillet 1992 Lestemps sont durs, de nos jours, quelques centimes d'Ă©conomisĂ©s sont importants. Quelques astuces pour amĂ©liorer votre quotidien dans tous les domaine PhilippeCandeloro ne se dit pas radin, mais Ă©conome. Souvent dĂ©crit comme une star avare, le champion est revenu sur le sujet chez nos confrĂšres de L'Equipe. PĂšre de trois enfants, Philippe Jene suis pas radine mais Ă©conome (TEMOIGNAGE, BIO) (French Edition) eBook : Abilly, Kate, Abilly, Kate: Amazon.ca: Kindle Store. Skip to main content.ca. Hello Select your address Kindle Store. Hello, Sign in. Account & Lists Returns & Orders. Cart 8uhXbl. Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Le ParcGwen McLeePoufsouffle Re DerriĂšre un bosquetGwen McLee, le Mer 13 Jan - 1252 Durant le rĂ©cit de ma vie palpitante, MathĂ©o ne me coupa pas une seconde. Son sourire me donna du courage Ă  me confier. J’espĂšre qu’il ne va pas s’enfuir Ă  cause de mon manque de savoir sur la vie des sorciers et notamment le fait d’en cĂŽtoyer. Comment ai-je fais toutes ces annĂ©es pour ne pas quitter Londres ? SĂ©rieusement je me fais passer pour une inculte et une moins que rien
 Il est vraiment temps de remĂ©dier Ă  cela !Quand MathĂ©o reprend la parole, je suis soulagĂ© d’apprendre qu’il veut bien devenir mon ami. Il me rĂ©chauffe le cƓur au plus haut point. Je ne peux m’empĂȘcher de sourire Ă  pleine je veux bien ĂȘtre ton ami. Et te faire voir encore plus que ne te fais dĂ©couvrir Poudlard. Si un jour tu le sens. On ira faire un voyage ensemble. Loin de cette habitude qu’est le chĂąteau et loin de Londres et de son avalant un Ă©niĂšme gĂąteau et cette fois sans catastrophe, il reprend aussitĂŽt la parole pour cette fois dĂ©taillĂ© une partie de sa vie privĂ©. Je suis curieuse d’en savoir davantage car il me semble que MathĂ©o cache beaucoup de mystĂšre. - J'ai des choses Ă  te dire.. Ma vie n'est pas palpitante mais elle a Ă©tĂ© trĂšs compliquĂ© Ă  gĂ©rer. J'ai vĂ©cu dans une cabane pendant plus de deux ans avant d'arriver ici. Mais je m'y sentais pas trĂšs bien. J'ai continuĂ© Ă  vivre dans cette cabane quand je revenais de Poudlard jusqu'avant mĂȘme dix-sept ans... Je perdais souvent la boule et personne n'osait y toucher Ă  ma cabane. Personne n'osait y venir. Comme si j'Ă©tais un animal en cage dont personne ne voulait approcher. J'ai bien cru qu'ils allaient la dĂ©truire pendant que j'Ă©tais Ă  Poudlard. Ils ont essayĂ©s. Mais jamais ils n'ont rĂ©ussi ! Alors comme ça il a vĂ©cu dans une cabane ! Etrange, ce que je ne comprends pas c’est est-ce que c’est de sa propre volontĂ© ou bien l’a-t-on forcĂ© Ă  y vivre et finalement il a pris goĂ»t Ă  y vivre ? Une vie de solitaire dans une cabane, que faisait-il ? Ne s’ennuyait-il pas ? Pourquoi traiter une personne de la sorte ? Avait-il le droit de sortir Ă  sa propre guise ? C’est incomprĂ©hensible
MalgrĂ© cela j’ai l’impression qu’il y tient beaucoup Ă  cette cabane, c’est assez paradoxal comme situation je trouve. AprĂšs je ne veux pas juger sa vie
 qui est certes trĂšs compliquĂ© en puis, toute ces voitures, cette polution m'a rendu dingue. J'en avais marre de cette situation. Alors, j'ai rĂ©agi et suis allĂ© voir mon beau-pĂšre. Ma la discution Ă  tournĂ© court et je les stupĂ©fixer avant qu'il ne me cogne comme il le faisait si bien. Et j'ai dĂ©couvert une lettre qui me permettait de dĂ©couvrir qui Ă©tait mon vrai pĂšre. Mais je l'ai encore jamais vu et je l'attends encore. Ce jour lĂ , ma soeur a foutu le feu Ă  la maison. Et j'ai sauvĂ© mon beau-pĂšre pour une raison qui m'Ă©chappe. On m'a dit que j'avais de la compassion pour lui parce qu'il m'avait Ă©lever Ă©tant petit. Mais il m'a renier par la suite. Aujourd'hui, il est toujours Ă  l'hĂŽpital et je vis avec ma mĂšre. Car quand je vais Ă  Londres pour y aller travailler. La cabane ne serais pas un endroit parfait pour se reposer. Au contraire. Ça aurait Ă©tĂ© la derniĂšre chose que je voudrais. Il ne s’arrĂȘte plus de parler, les mots dĂ©filent. Il vide son sac devant moi en toute confiance. Je suis touchĂ©e de cette initiative c’est qu’il a une totale confiance en moi et mon histoire ne lui a pas fait peur. En mĂȘme temps quand on compare nos deux histoires je comprends mieux. J’arrive mieux Ă  m’imaginer sa rĂ©pulsion pour Londres du coup. Niveau famille, ce n’est guĂšre mieux il ne connaĂźt mĂȘme pas son vrai pĂšre
 et puis sa sƓur qui brĂ»le la maison
 Je dis chapeau Ă  MathĂ©o il s’en sort plutĂŽt bien niveau psychologique aprĂšs tout ce qu’il a vĂ©cu. MalgrĂ© sa maladresse il reste une personne intelligente et courageuse. Le secours de son beau-pĂšre prouve que MathĂ©o a un cƓur. Son histoire me touche beaucoup. Une chose est sĂ»re s’il a besoin d’aide pour la recherche de son pĂšre biologique je serai toujours lĂ  ! Pour le moment, je ne vais pas m’attarder sur son rĂ©cit Ă©mouvant, j’ai Ă©normĂ©ment de questions qui me viennent Ă  l’esprit mais il faut tout de mĂȘme apprendre Ă  se connaĂźtre au fur et Ă  Gwen, pour oublier tout ça. Veux-tu voyager un jour avec moi ?Sans hĂ©siter une seconde je lui rĂ©ponds immĂ©diatement -Avec plaisir MathĂ©o, tout d'abord je te remercie de cette confiance que tu me portes et OUI je veux voyager avec toi ! Autant de fois que tu voudras
 une derniĂšre petite chose si tu as besoin de moi, tu peux compter sur moi. Petit clin d’Ɠil Ă  MathĂ©o pour lui prouver ma franchise et le mettre encore plus en dingue comment une rencontre peut changer une vie. Merci MathĂ©o ! MathĂ©o AngurPoufsouffle Re DerriĂšre un bosquetMathĂ©o Angur, le Mar 19 Jan - 2117 Parler ainsi Ă©tait loin de ce qu'il penserait avant mĂȘme de la rencontrer. Mais il ne pouvait s'empĂȘcher Ă  rĂ©pondre Ă  certaines questions. Ou mĂȘme de se dĂ©livrer d'un moment Ă  un autre. Il n'avait rien d'exceptionnel, il Ă©tait juste quelqu'un avec une histoire complexe qu'il pourrait jamais raconter en une seule fois Ă  quelqu'un ni mĂȘme tout lui dire. C'est impossible, il ne peut jamais tout ce souvenir d'un coup, son histoire se modifiant meme quelques fois sans qu'il ne le veuille vraiment. C'est ainsi qu'il est... Il ne pourra rien y changer, ni mĂȘme essayer de changer, il l'a dĂ©jĂ  fait et c'Ă©tait plus qu'un exploit pour lui. Il a remonter la pente lĂ  oĂč il s'en attendait le moins. Il s'est dĂ©brouiller pour que tout change. Et ceci Ă  finalement eut un bon effet pour lui, ça s'est passĂ© dans le bon sens et tant mieux pour lui. MĂȘme s'il a encore des choses qui coincent, qui d'ailleurs il ne pourra rien y changer, jamais, il navigue dans le bon port, prĂȘt Ă  bientĂŽt embarquĂ©. - Avec plaisir MathĂ©o, tout d'abord je te remercie de cette confiance que tu me portes et OUI je veux voyager avec toi ! Autant de fois que tu voudras
 une derniĂšre petite chose si tu as besoin de moi, tu peux compter sur moi. MathĂ©o ne pouvait que lui rĂ©pondre par un grand sourire. Qu'elle accepte Ă©tait une trĂšs bonne chose. Et franchement, il voulait vraiment qu'un jour, que ce jour arrive le plus vite possible. Quand ? Aucune idĂ©e. Mais ce jour lĂ , Gwen fera partie du voyage et peut-ĂȘtre mĂȘme plus encore. Elle pourrait dĂ©couvrir de magnifique paysage, des choses dont elle ne pourrait mĂȘme pas s'imaginer. Entre Londres et cette forĂȘt, il y a une Ă©norme diffĂ©rence. Elle n'a pas Ă©tĂ© protĂ©gĂ© pour rien. Elle est intouchable. Et tant mieux, parce que sans elle, il ne serait pas ce qu'il est aujourd' Super Gwen, je suis trĂšs content que tu accepte et merci aussi, si j'ai besoin de toi, t'inquiĂšte je t'appelerais. On va manger ? Un gĂąteau c'est bien, mais un bon repas, c'est peut-ĂȘtre mieux ? Ah et si t'as des questions, je pourrais te rĂ©pondre en y lui adressa un grand sourire en se levant. VoilĂ  une trĂšs belle rencontre, malgrĂ© qu'elle avait pas trĂšs bien commencĂ©. Gwen McLeePoufsouffle Re DerriĂšre un bosquetGwen McLee, le Lun 25 Jan - 1220 AprĂšs cette conversation sĂ©rieuse entre MathĂ©o et moi, celui-ci me rĂ©pond avec un grand sourire. Que demander de mieux ? Il a bien compris mon message et lui comme moi je suis sĂ»re voulons tous les deux voyager ensemble, dĂ©couvrir des coins magiques, nous en mettre plein la vue. Que j’ai hĂąte d’y ĂȘtre ! -Super Gwen, je suis trĂšs content que tu acceptes et merci aussi, si j’ai besoin de toi, t’inquiĂšte je t’appellerai. On va manger ? Un gĂąteau c’est bien, mais un bon repas, c’est peut-ĂȘtre mieux ? Ah et si ta des questions, je pourrais te rĂ©pondre en y le temps passe ! MathĂ©o me fait prendre conscience que ça fait tout de mĂȘme un moment que nous sommes ensemble Ă  papoter sur ce banc. Moi aussi j’ai faim malgrĂ© que je me sois gavĂ© de gĂąteaux ! Il est grand temps pour nous de se diriger vers la grande salle. C’est si gentil de sa part de me demander qu’on aille manger plaisir, allons manger, j’ai FAIM !! MathĂ©o se lĂšve et je fais de mĂȘme. Finalement on peut dire que cette mĂ©saventure a eĂ»t un cĂŽtĂ© positif je me suis fait un nouvel ami Pouffys et je vais pouvoir un jour voyager avec et surtout pouvoir compter sur lui lorsque j’en aurais besoin. La confiance c’est Ă©tablie en peu de temps certes, mais entre Poufsouffle on sait reconnaĂźtre les personnes ayant de la valeur. MathĂ©o fait partie de ses personnes qui ont de la trĂȘve de plaisanterie, il faut vraiment que j’arrĂȘte de me perdre dans mes pensĂ©es. Que doit penser MathĂ©o qui veut aller manger !Allons-y gaiement, pour de nouvelles aventures !Une chose est sĂ»re ce lieu restera pour moi l’endroit d’une belle rencontre entre MathĂ©o et du RP InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Mar 1 Mar - 1845 RP avec Rachel PascaL'Underlinden avait dĂ©couvert cette cachette au fond du parc dĂšs sa premiĂšre annĂ©e, et n'arrivait plus Ă  s'en passer depuis. Que voulez-vous ? Il adorait s'y cacher pour lire, rĂȘver, Ă©crire, voire mĂȘme s'y assoupir pendant les beaux jours. Cet endroit satisfaisait ses envies bucoliques tout en le rendant presque invisible aux yeux de ses camarades presque car il fallait tout de mĂȘme chercher pour trouver. Et en ce beau jour oĂč le soleil avait daignĂ© pointer quelques rayons, il s'y Ă©tait rĂ©fugiĂ© pour lire en toute discrĂ©tion, avec un certain plaisir coupable. Il n'allait tout de mĂȘme pas lire les RĂȘveries du promeneur solitaire en pleine salle commune des Serpentard, ça jurait cruellement avec son image de fils de la vieille noblesse sang-purienne question de rĂ©putation. Il adorait cet ouvrage, hĂ©ritĂ© de son ancĂȘtre AsclĂ©pius Apophis Underlinden IIe du nom, dit le Français. Cet Ă©minent mage avait passĂ© la majoritĂ© de son existence en France afin d'y mener des recherches en herbologie et avait lĂ©guĂ© Ă  ses successeurs, quantitĂ©s d'ouvrages plus intĂ©ressants les uns que les autres. Malheureusement, il arrivait au terme de son ouvrage, une fois de plus. Bien qu'il aimĂąt le style et la solitude du philosophe, il souhaitait Ă©galement diversifier sa culture pourquoi se contenter de lire et de relire les mĂȘmes choses ? Il avait ainsi investit, le plus discrĂštement du monde, dans d'autres ouvrages de rĂ©fĂ©rence de la littĂ©rature française, bien qu'il n'en maĂźtrisĂąt pas complĂštement les subtilitĂ©s. Oui, il comprenait assez bien le français grĂące Ă  ses Ă©tudes de Latin, mais prĂ©fĂ©rait tout de mĂȘme lire les ouvrages traduit en anglais ou en allemand question de confort. Mais promis, lorsqu'il parlerait cette langue, il lirait ces lignes adorĂ©es dans la langue voulue par leur auteur. Pour le moment, il devrait se contenter de la lecture du Paysan parvenu en anglais. Il avait fait cette heureuse dĂ©couverte dans la bibliothĂšque du chĂąteau et en avait profitĂ© pour se l'approprier. Qui irait le rĂ©clamer de toute façon ? Sa famille n'Ă©tait pas spĂ©cialement rĂ©putĂ©e comme Ă©tant "Muggle-friendly", alors de la littĂ©rature Moldu... AsclĂ©pius rajusta son manteau au col de fourrure autour de lui et sa cape en laine sur ses jambes avant d'entamer sa lecture bien qu'il fasse beau, il n'Ă©tait pas Ă  l'abri d'un sournois courant d'air frais sur ses articulations meurtries. Dur dur de Ă©dition par AsclĂ©pius Underlinden le Ven 18 Mar - 2018, Ă©ditĂ© 1 fois GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Lun 7 Mar - 1807 HRPMarcher, toujours marcher. Puisque c’était le seul moyen de mieux dormir. En se fatiguant, ne s’arrĂȘtant avait l’impression de ne penser qu’à ça depuis trop longtemps dĂ©jĂ . De ne penser qu’à eux. Le matin en se levant. La journĂ©e en allait en cours. La nuit durant ses insomnies. Surtout durant ses insomnies en fait, car en plein jour il y avait toujours quelqu’un ou quelque chose pour la forcer Ă  sourire. Ça avait au moins le mĂ©rite de la distraire, mĂȘme s’il n’y avait rien de vrai, ou peu. Dans tous les cas elle se devait de maintenir l’illusion pour les autres, pour ceux qu’elle aimait. Mais seule, une fois la nuit tombĂ©e, face Ă  ses pensĂ©es
 c’était Ă  ce moment que tout devenait infiniment plus compliquĂ© pour elle. Rachel Ă©tait alors seule dans le silence et ses idĂ©es se mĂ©langeaient comme pour l’empĂȘcher de dormir et d’ sorciĂšre cherchait alors Ă  les mettre en veille, pour enfin rĂ©ussir Ă  dormir, car elle n’allait plus bien. Elle qui avait toujours cru connaĂźtre le monde se rendait compte aujourd’hui de son erreur. Faux. Mensonge. Illusion. Et Rachel s’était alors vu sombrer dans le tourment et dans les nuits Ă  Malica, la sorciĂšre avait nĂ©anmoins retrouvĂ© un peu de sĂ©rĂ©nitĂ©. Vive la potion de paix ! Sauf que voilĂ , Malicia n’avait sans doute pas prĂ©vu qu’une dose de dragon serait nĂ©cessaire. Sa bienfaitrice avait d’ailleurs promis de lui en refournir, mais Rachel savait d’ores et dĂ©jĂ  que cela ne suffirait pas. Elle Ă©tait accro. Elle avait besoin de plus pour retrouver le calme et sa joie de vivre. Car aprĂšs tout, en plus de s’ĂȘtre lancĂ© corps et Ăąme dans la dĂ©fense et l’attaque, Rachel comptait aussi un peu sur ça pour ne pas laisser les mangemorts gagner. Elle en avait assez de ne penser qu’à eux ! Pas question qu’ils gĂąchent sa vie bruit, soudain, la fit sursauter. C’était lĂ©ger, presque inaudible. Rachel se rendit alors compte qu’elle Ă©tait loin des autres Ă©lĂšves et du chĂąteau. La Il y a quelqu’un ? InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Lun 7 Mar - 1936 HRPGLĂ , tout n'est qu'ordre et beautĂ©,Luxe, calme et soupira, et une brise, aussi douce que subite vint embrasser son visage tandis que ses paupiĂšres se fermaient. Enfin, il semblait avoir trouvĂ© un semblant de quiĂ©tude. Ses muscles se dĂ©tendaient peu Ă  peu, son visage Ă©tait moins crispĂ©, sa respiration plus douce, les battements de son cƓur moins frĂ©nĂ©tique... Peut-ĂȘtre pourrait-il se laisser aller, se reposer, et s'endormir ici, loin de tout.. Dans sa tour d'ivoire bien Ă  lui... Il laissa Ă©chapper un soupire. Etait-ce le dernier ? Pourvu que non, les moments de dĂ©tente Ă©taient si rare, et pour une fois qu'il avait sommeil... Etait-ce les effets du philtre ? SĂ»rement, il n'avait encore jamais ressentit une telle dĂ©tente... Il pourrait rester ainsi ad aeternam, Ă  Ă©couter la faune silencieuse, et Ă  savourer la brise de saison...Joignant le geste Ă  la pensĂ©e, son pesant ouvrage glissa de ses doigts osseux pour venir s'Ă©chouer sur la pelouse, en un bruit sourd, presqu'inaudible, que lui-mĂȘme n'entendit pas...Puis, il sursauta violemment, arrachĂ© Ă  sa transe par une voix. Qui Ă©tait lĂ  ? Qui Ă©tait-ce ? Que se passait-il ?EbouriffĂ©, le regard hagard, le teint livide et l’Ɠil fiĂ©vreux, le Serpentard surgit de son bosquet pour faire face Ă ... Une de ses camarades de classe. Son rythme cardiaque s'Ă©tait endiablĂ© bon sang, elle lui avait fichu la frousse ! Quelle idĂ©e de.. De... De se balader ?" - Je... Oui... Bonjour... Marmonna-t-il tout en resserrant nerveusement sa cravate. L'on se connaĂźt non ? Oui.. En cours, on s'est dĂ©jĂ  croisĂ©... NavrĂ©... "Il dĂ©glutit et disparut de nouveau derriĂšre son bosquet, cherchant Ă  tĂątons son sac et sa littĂ©rature. GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Mar 8 Mar - 1312 Ça avait Ă©tĂ© Ă  peine audible, Rachel doutait mĂȘme l’avoir rĂ©ellement entendu. Pourtant, elle avait sursautĂ© violemment avant de sortir sa baguette d’un mouvement brusque. Pourdlard n’était pas aussi sĂ©curisĂ© qu’on ne le prĂ©tendait, il y avait dĂ©jĂ  eu une attaque, cela pouvait trĂšs bien recommencer. D’ailleurs, elle n’avait pas oubliĂ© le cours sur les portoloin qu’elle avait eu avec Evan. Ni ce qu’il avait expliquĂ©, concernant un sort qui pouvait briser toutes les barriĂšres, mĂȘme celles du chĂąteau. Et aujourd’hui elle Ă©tait seule, loin de tout. Trop loin. Trop seule. Alors son esprit la mettait en garde, chaque parcelle de son corps cherchant Ă  Ă©viter Ă  tout prix une quatriĂšme attaque. Si le bruit n’avait pas Ă©tĂ© des plus audibles, c’était surtout son caractĂšre Ă©tonnant qui avait attirĂ© son attention. Ça n’avait pas Ă©tĂ© une feuille dans le vent, ni un craquement de branche et encore moins un animal. Non, c’était un bruit qui n’avait rien Ă  faire Il y a quelqu’un ? demanda-t-elle pas certaine qu’on lui un instant, plus aucun bruit ne se fit entendre, Ă  moins que ce ne soit les battements de son cƓur et sa respiration saccadĂ©e qui les dissimulaient. Un instant, Rachel se traita mĂȘme d’imbĂ©cile, se disant qu’elle devait absolument rĂ©duire ses dose de philtre de paix, parce quand elle n’en avait pas
 Sans commentaire. Un instant, Rachel crue craquer. AprĂšs tout il n’y avait personne et quitte Ă  pĂ©ter un cĂąble, autant le faire ici, tandis qu’il n’y avait personne. Sauf que, sortant des broussailles
- Je... Oui... Bonjour... BĂ©gaya-t-il en resserrant sa cravate, l’air trĂšs peu Ă  l’aise. EffrayĂ©e la sorciĂšre poussa un cri en brandissant sa baguette, mais heureusement ne pensa pas Ă  lancer un sort. Heureusement, oui, parce qu’il s’agissait en fait d’un Ă©lĂšve de sa propre maison. Un jeune homme qu’elle avait dĂ©jĂ  eu l’occasion de voir Ă  plusieurs reprise, sans jamais lui parler ni mĂȘme s’intĂ©ressĂ© Ă  son cƓur battant la sorciĂšre tenta de se calmer en se rassurant, ce qui ne semblait pas ĂȘtre le cas de celui qui lui faisait face. Un nerveux Ă  l’évidence. - L'on se connaĂźt non ? Oui... En cours, on s'est dĂ©jĂ  croisĂ©... NavrĂ©...Le jeune homme replongea dans le bosquet de maniĂšre aussi soudaine qu’il en Ă©tait sortie et Rachel en resta muette. Euh
 ok ! InterloquĂ©e, curieuse surtout, elle le suivi doucement. Elle le retrouva alors trĂšs vite, plus nerveux que ça tu meurs. La sorciĂšre aussi avait eu peur, d’ailleurs sa boule au ventre n’était pas encore partie, mais elle s’était vite calmĂ©. Hey, ça va ? s’ vie Ă©tait Ă©trange. Peu importe l’humeur dans laquelle elle se trouvait, il y avait toujours quelques choses pour la faire rester elle-mĂȘme, parfois contre son grĂ©. Rachel n’avait pas pensĂ© avoir assez de cƓur aujourd’hui, mais elle n’avait pas prĂ©vu de tomber sur lui non plus et le pauvre semblait plus effrayer encore qu’une araignĂ©e face Ă  un basilic. InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Mar 8 Mar - 1929 Le cƓur battant et les mains tremblantes, AsclĂ©pius tentait vainement de remettre de l'ordre dans son sac. Se mettre dans un Ă©tat pareil pour si peu... DĂ©cidĂ©ment, il Ă©tait vraiment une petite chose sensible.. Mais quelle idĂ©e aussi de lui faire peur ainsi et... Tiens, ne l'avait-elle pas menacĂ© de sa baguette ? Oh non, il n'avait pas besoin de ça, vu son incapacitĂ© chronique Ă  lancer un sort correct. ParaĂźt que c'Ă©tait dĂ» Ă  l'angoisse et au manque de confiance en soi... Il paraĂźtrait. ça ne le rassurait pas beaucoup de savoir ça..." - Hey, ça va ? Demanda alors la jeune fille d'un ton inquiet. "AsclĂ©pius poussa un petit cri de frayeur et de surprise mĂȘlĂ©, ma foi fort peu viril, et en lĂącha ce qu'il tenait dans les mains son sac de cours. Ainsi, ses livres retournĂšrent sur la pelouse et une fiole de philtre de paix roula jusqu'aux pieds de la demoiselle. La main sur le cƓur, il reprit peu Ă  peu le cours normal de sa respiration, lançant un regard assez peu aimable, et particuliĂšrement rĂ©probateur Ă  sa camarade de Serpentard. Certes, ce n'Ă©tait pas de sa faute si il Ă©tait nerveux, mais elle avait Ă©tĂ© l'Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur de sa frayeur, donc elle Ă©tait un peu fautive. CQFD. " - ça va, merci.. RĂ©pondit-il tout de mĂȘme poliment, une fois un semblant de calme retrouvĂ©. "Le jeune homme expira un bon coup, pour se dĂ©tendre un peu. Sa cravate Ă©tant dĂ©jĂ  serrĂ©e plus que de raison, il passa sa main dans ses cheveux, pour s'occuper les mains, avant de recommencer Ă  ranger ses affaires." - Je te prie de bien vouloir m'excuser, j'ai Ă©tĂ© surpris par ta prĂ©sence... L'endroit est plutĂŽt isolĂ©, alors je ne m'attendais pas Ă  devoir faire face Ă  quelqu'un.. Non pas que tu m'ais effrayĂ©, enfin si.. Mais... Bref. Conclut-il avant de se racler nerveusement la gorge, mettant ainsi un terme Ă  ses explications. "Le Serpentard se releva, afin de paraĂźtre moins gauche, et observa la jeune fille. S'il se souvenait bien, elle s'appelait Rachel.. Il ne savait plus trop oĂč il avait pu entendre son nom. Peut-ĂȘtre Ă  la table des Serpentards, ou encore dans la bouche de leur professeur de Potions, ou ailleurs... Mr. Lival avait dĂ©jĂ  prononcĂ© son nom de famille en MĂ©tamorphose.. C'Ă©tait quoi dĂ©jĂ .. Un truc italien, non ? Pac... Pas... Paca.. ? Non, ça c'Ă©tait une rĂ©gion française.. Pesta... Pasca ! VoilĂ , Rachel Pasca. PrĂ©fĂ©rant mettre un terme au silence gĂȘnant qui venait de s'installer, le rendant de nouveau mal-Ă -l'aise, le jeune homme tendit poliment la main en direction de Miss Pasca " - Au fait, je me prĂ©nomme AsclĂ©pius. AsclĂ©pius Underlinden, troisiĂšme du nom. Je prĂ©fĂšre prĂ©ciser pour Ă©viter une confusion malheureuse, qui pourrait s'avĂ©rer douloureuse.. "Et il se permit mĂȘme un lĂ©ger sourire Ă  la fin de sa prĂ©sentation... Qu'il perdit assez rapidement, pour paraĂźtre encore plus gĂȘnĂ© qu'auparavant bravo, quelle idĂ©e de faire une blague sur un objet de magie noire avec une inconnue ? AsclĂ©plouf au fond du lac, mon pauvre garçon... GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Dim 13 Mar - 2040 Le voyant fuir de maniĂšre dĂ©raisonnĂ©, Rachel le suivi Ă  l’intĂ©rieur du bosquet, lui offrant son soutient. Cependant, et ça c’était peu courant dans la vie de la sorciĂšre, son homologue sursauta de plus belle, criant et lĂąchant ses affaires. TrĂšs classe. Un sac, des livres de cours se dispersĂšrent alors sur l’herbe humide et le jeune homme se prĂ©cipita pour les ramasser. D’ailleurs Rachel Ă©tait partie pour faire de mĂȘme et l’aider, quand la plus belle chose au monde roula jusque ses pieds. Comme un mirage. Le liquide, bleu phosphorescent, ne laissait pas de place au doute et l’espace d’un instant Rachel hĂ©sita Ă  laisser ses pires instincts prendre le dessus, lorsque la voix du jeune homme la ramena brusquement Ă  la rĂ©alitĂ©. Retour brutal. Cette fois c’est la sorciĂšre qui sursautait. - Ça va, merci
 La jeune femme releva la tĂȘte d’un geste brusque, comme prise en faute. Non, elle n’allait pas voler cette fiole, mĂȘme si c’était tentant. La sorciĂšre avait beau aller mal, nul doute, Ă  en croire son Ă©tat actuel, qu’il allait tout aussi mal. Une droguĂ©e qui vole un autre droguĂ© pour avoir sa dose
 si ce n’est pas lamentable. - Je te prie de bien vouloir m'excuser, j'ai Ă©tĂ© surpris par ta prĂ©sence... L'endroit est plutĂŽt isolĂ©, alors je ne m'attendais pas Ă  devoir faire face Ă  quelqu'un... Non pas que tu m'ais effrayĂ©, enfin si
 Mais... Bref. Mais Rachel n’écoutait plus. Si lui s’était relevĂ©, elle, Ă©tait dorĂ©navant accroupi, tenant la petite fiole dans sa main. Avec des mouvements extrĂȘmement lent, la sorciĂšre se releva, tenant fermement la fiole dans sa main. - Au fait, je me prĂ©nomme AsclĂ©pius. " À tes souhait ! " pensa-t-elle. L'adolescente lui tendit nĂ©anmoins la main. - AsclĂ©pius Underlinden, troisiĂšme du nom. Je prĂ©fĂšre prĂ©ciser pour Ă©viter une confusion malheureuse, qui pourrait s'avĂ©rer douloureuse... Rachel fronça les sourcils, ne comprenant pas la remarque. Puis, hĂ©sitante, lui tendit la fiole. - Rachel. Je ne voulais pas te faire peur, moi non plus je ne pensais pas croiser du monde ici. Elle lĂącha la fiole Ă  contre-cƓur. La sorciĂšre en Ă©tait restĂ©e lĂ  dans les prĂ©sentations. Elle n'avait ni titre ni nom Ă  faire valoir, contrairement au troisiĂšme du nom, alors pourquoi en faire plus ? Elle trouvait ça Ă©trange tout de mĂȘme, cette manie que tout le monde avait de se prĂ©senter ainsi. Il ne lui Ă©tait jamais venu Ă  l'esprit de se prĂ©senter Ă  la James Bond "Je m'appelle Pasca. Rachel Pasca. NĂ©e moldu". - Alors... dĂ©buta-t-elle pour mettre fin Ă  un moment de gĂȘne. Tu venais faire quoi ici ? InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Lun 14 Mar - 2000 " - Rachel. Je ne voulais pas te faire peur, moi non plus je ne pensais pas croiser du monde ici. "Evidemment, s'entendit-t-il penser en s'empĂȘchant de grogner de dĂ©dain. AprĂšs tout, s'il Ă©tait venu ici, c'Ă©tait pour s'isoler. Mais passons, tout ça, c'Ă©tait du passĂ© dĂ©sormais il fallait aller de l'avant. Tiens, mais.. N'Ă©tait-ce pas sa fiole qu'elle lui rendait lĂ , les doigts crispĂ©s et les mains tremblantes ? Avisant un regard un peu plus minutieux en direction de sa camarade, il remarqua ses cernes, son teint blafard... Et quelque chose qu'il avait un peu de mal Ă  dĂ©finir, bien qu'il l'expĂ©rimente Ă  tout instant... Etait-elle nerveuse, ou angoissĂ©e.. ?Pensif, il ne rangea pas sa fiole de philtre de paix, prĂ©fĂ©rant la garde Ă  la main pour l'instant, le regard toujours fixĂ© sur la demoiselle." - Alors... Tu venais faire quoi ici ? - Lire, rĂ©pliqua-t-il un brin brusquement. " Il sortit alors de son sac ses exemplaires de littĂ©rature moldue, afin qu'elle puisse en voir la couverture, avant de les ranger scrupuleusement dans son sac. " J'espĂšre... Que cela pourra rester entre nous. Je ne suis pas censĂ© m'adonner Ă  ce genre de lecture. "De nouveau, un silence s'installa. Il ne savait trop quoi dire.. Enfin, si, il ne savait que trop quoi dire, mais cette tournure de phrase Ă©tait trop vilaine pour ĂȘtre prononcĂ©e. Alors, il prit de nouveau la parole, ouvrant sa main qui renfermait le philtre de paix en direction de Rachel " - Tu semble connaĂźtre ce breuvage. Prends. Je dois amĂ©liorer la recette de toute façon. "Etait-ce de l'altruisme ? Peut-ĂȘtre, peut-ĂȘtre pas. Disons que, pour faire simple, le jeune Serpentard avait beaucoup de mal Ă  rĂ©agir face Ă  la souffrance. Pour ĂȘtre exact, il avait beaucoup de mal Ă  s'affranchir de la souffrance, Ă  faire comme si elle n'existait pas. Ce n'Ă©tait pas de la gentillesse pour autant, mais voir quelqu'un au plus mal - tant moralement que physiquement - lui soulevait le coeur, et il se sentait encore plus misĂ©rable qu'il ne l'Ă©tait dĂ©jĂ . Il ne saurait trop comment dĂ©finir ce sentiment, qu'il ressentait face Ă  la douleur, mais prĂ©fĂ©rait ne pas s'attarder sur de telles pensĂ©es... GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Mer 16 Mar - 1753 L’ambiance n’était pas mauvaise, elle Ă©tait juste Ă©trange et un brin suspicieuse. Aucun des deux sorciers n’avaient rĂ©ellement voulu cette rencontre, ce n’était pas pour rien qu’ils s’étaient aventurĂ©s aussi Alors... Tu venais faire quoi ici ?Elle n’avait pas particuliĂšrement envie de taper la discussion, mais la gĂȘne qu’elle avait ressentie en apercevant la fiole de potion devait Ă  tout prix disparaĂźtre. A coup sĂ»r, en discutant avec lui Rachel se rendrait compte qu’elle l’aimait bien, tout comme elle aimait tout le monde, et elle oublierait son envie de vol. Ce n’était pas Lire, rĂ©pondit-il sur la ne s’en offusqua pas, bien au contraire. D’autant qu’il semblait ĂȘtre aussi gĂȘnĂ© qu’elle, comme pris en faute lui aussi. D’ailleurs il ajouta - J'espĂšre... Que cela pourra rester entre nous. Je ne suis pas censĂ© m'adonner Ă  ce genre de Pourquoi ? demanda-t-elle le plus naturellement du monde avant de se donner une gifle tant que nĂ©e-moldu, elle avait forcĂ©ment du mal Ă  comprendre pourquoi les sorciers mĂ©prisaient tant son monde d’origine. Et si ce jeune homme avant envie de lire des ouvrages moldu
 Eh bien qu’il le fasse ! AprĂšs, il Ă©tait Ă©vident qu’elle garderait le regarda AsclĂ©pius tourner le philtre de paix dans sa main, envieuse. Pourquoi ne l’avait-il pas encore rangĂ© dans son sac en mĂȘme temps que ses livres ? Lui qui semblait si mĂ©fiant et si Tu sembles connaĂźtre ce Ouais, rĂ©pondit-elle d’une petite voix. J’en consomme depuis peu, mais
Rachel ferma les yeux un court instant avant de se Je pourrais t’en prendre quelques goĂ»tes, s’il-te-plait ?- Prends, lui dit-il alors contre toute sorciĂšre le regarda comme s’il venait de lui pousser des cornes. Ou plutĂŽt des ailes, puisqu’aujourd’hui il Ă©tait son ange. DĂ©licatement, elle rĂ©cupĂ©ra la petite fiole et resta muette quand vĂźnt le moment de le remercier. Trop d’émotion, d’étonnement, de derniĂšre annĂ©e en prit tout de suite un peu. Un sourire vĂźnt alors rĂ©apparaitre sur son Je dois amĂ©liorer la recette de toute une fois la sorciĂšre le dĂ©visagea. C’était elle oĂč il venait de lui dire qu’il fabriquait lui-mĂȘme son philtre ? Une idĂ©e brillante ! Et surtout une trop belle occasion pour ne rien faire et ne pas sauter Tu pourrais m’apprendre Ă  en faire ? J’ai bien un fournisseur, mais il n’acceptera jamais de m’en faire les quantitĂ©s que je dĂ©sire. Pas sans m’en faire baver en tout cas
 fini-t-elle en songeant tout bas. InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Ven 18 Mar - 2017 En voyant le sourire de sa camarade, AsclĂ©pius sĂ»t qu’il avait eu raison de lui donner sa fiole de philtre, comme pour Esteban. Les rapports ambigus qu’il entretenait avec la souffrance, ne devaient pas l’empĂȘcher de se montrer aimable, surtout envers quelqu’un de sa Maison, ou un de ses camarades de classe en gĂ©nĂ©ral. Mais Ă©tait-ce vraiment de l’amabilitĂ©, ou du calcul social ? Il n’en savait trop rien. Ce dont il Ă©tait certain, par contre, c’était que savoir qu’il avait pu soulager une personne de sa souffrance, lui allĂ©geait quelque peu le cƓur – et c’était ce qui lui importait le plus en ce moment avoir le cƓur et l’esprit lĂ©ger. Pour autant, il ne parvenait toujours pas Ă  se faire au regard insistant de Rachel sur sa personne. Et bien quoi, avait-il un Ă©norme furoncle sur le bout du nez, ou quelque chose dans le genre ? Qu’on le lui dise, s’il vous plaĂźt ! - Tu pourrais m’apprendre Ă  en faire ? J’ai bien un fournisseur, mais il n’acceptera jamais de m’en faire les quantitĂ©s que je dĂ©sire. Pas sans m’en faire baver en tout cas
 »Il lui semblait que la fin de la phrase de la Serpentard ne s’adressait pas Ă  sa personne, mais Ă  elle-mĂȘme, mais ce n’était pas cela, qui l’étonna le plus. Le troisiĂšme du nom ne put masquer sa surprise face aux paroles de la jeune fille - Tu
 Tu as un fournisseur ? »Un vrai de vrai, qui fait passer des fioles sous cape, la nuit dans les ruelles sombres et malfamĂ©es ? C’était gĂ©nial ! Si jamais il avait l’occasion de tenter l’expĂ©rience un jour, il rendrait Albert fou de jalousie ! Oui, parce que faire de la contrebande en fauteuil roulant, ce n’était ni pratique, ni discret et surtout pas crĂ©dible ! NavrĂ© cousin tu es condamnĂ© aux livraisons Ă  Ă  distribuer des fioles Ă  tout va dĂšs que ses camarades en avaient besoin, AsclĂ©pius avait davantage l’impression d’ĂȘtre le fournisseur que le droguĂ©. Quoique
 Bon nombre de droguĂ©s se faisaient vendeur afin de pouvoir payer leurs doses
 Belle perspective de carriĂšre en vue devait-il en parler avec son directeur de maison ? Cependant, aprĂšs une courte rĂ©flexion, le Serpentard se fit moins enthousiaste. Comment ça, le fournisseur n’accepte pas de fournir de grandes quantitĂ©s ? Que faisait-il de sa noble Ă©thique de vendeur douteux alors ? DĂ©cidemment, le mĂ©tier se perdait
Et face Ă  la demande de la jeune fille, il Ă©tait un peu dans l’embarras. La concoction de potions Ă©tait son petit plaisir solitaire, son dada, sa rĂ©jouissance du jour, son occupation pendant ses insomnies
 Allait-il vraiment accepter de partager son secret, son bonheur, avec une parfaite inconnue ? Bon, pas tout Ă  fait inconnue puisqu’ils avaient fait les prĂ©sentations mais
 MĂȘme si elle avait l’air gentille, qu’en Ă©tait-il vraiment ? D’autant plus qu’AsclĂ©pius n’était pas homme Ă  accorder sa confiance l’habitude, et l’hĂ©ritage spirituel de Salazar Serpentard y jouaient en cela pour beaucoup. Il hĂ©sitait, cruellement. Que pourrait lui apporter une telle collaboration, mis Ă  part des ennuis ? Que faire
 Qu’agir
 Que penser
 ?Et finalement, le verdict tomba, doucement, presque en conclusion d’un souffle qui se termine - J’accepte
 A la condition que tu fournisses les ingrĂ©dients mes rĂ©serves sont Ă  secs, et je n’ai pas de fournisseur. Qui plus est, je me vois mal aller demander Ă  Miss Evans les ingrĂ©dients nĂ©cessaire pour cette potion
 Je pense qu’elle pourrait se douter de quelque chose
 »Et la derniĂšre chose dont il avait besoin, c’était qu’un adulte responsable vienne se mĂȘler de ses petites affaires, et de sa santĂ© – tant mentale que physique. AsclĂ©pius estimait qu’il s’en sortait assez bien tout seul et dĂ©testait par-dessus ĂȘtre Ă  la charge de quelqu’un. Etait-ce pour cela qu’il n’allait voir aucun MĂ©dicomage pour rĂ©soudre ses problĂšmes de santĂ© ? Probablement que oui, ou non. Il y avait toujours une raison cachĂ©e dans ses actions, histoire de faire honneur Ă  la maison dont il portait le blason sur la poitrine. GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Mar 22 Mar - 1544 Pour la premiĂšre fois depuis un moment, Rachel entrevoyait un espoir. AprĂšs tout, le philtre de paix l'avait aider plus que n'importe quoi. Alors imaginer un peu ce que pourrait devenir sa vie, si elle disposait des doses requises ? Plus efficace qu'un antidĂ©presseur, moins dangereux quoi qu'autant addictif que l'alcool ou la drogue. Aux yeux de la sorciĂšre, c'Ă©tait la bonne solution. Parce que seule, elle n'y arriverait pas. Parce que c'Ă©tait le chemin le plus rapide vers ce qu'elle avait Ă©tĂ© fut un temps. MĂȘme si au fond, elle le savait, c'Ă©tait aussi l'une des solutions les moins courageuses qu'elle aurait put choisir de suivre. - Tu
 Tu as un fournisseur ? Il y avait quelque chose dans le regard d'AsclĂ©pius. De l'envie, de la curiositĂ©. Pourtant la vĂ©ritĂ© Ă©tait bien moins exitante ou surprenant. Ce n'Ă©tait qu'une bonne Ăąme, un ange gardien, qui lui avait proposer de veiller sur elle. - Pas vraiment, c'est... Rachel hĂ©sita sur le terme Ă  employer, une amie qui m'en donne un peu pour m'aider. Mais elle s’inquiĂ©terait et me ferait la moral si je lui en demandait une chose dont Rachel avait horreur, inquiĂ©ter les autres, elle qui avait l'habitude de s'inquiĂ©ter pour eux. En dehors de ses parents, peut-ĂȘtre, elle Ă©tait la premiĂšre Ă  s'intĂ©resser Ă  son mal ĂȘtre. Celui-ci Ă©tait lĂ  depuis bien longtemps, il Ă©tait lĂ  bien avant qu'elles ne se rencontre, pourtant Malicia avait Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  le voir, ou Ă  s'y intĂ©resser. Sans doute que les mangemorts avaient rendu ça plus visible, plus Ă©vident. - J’accepte
 Rachel souffla de soulagement, avant de se reprendre, craignant un peu ce que son collĂšgue de maison allait lui dire - A la condition que tu fournisses les ingrĂ©dients mes rĂ©serves sont Ă  secs, et je n’ai pas de fournisseur. Qui plus est, je me vois mal aller demander Ă  Miss Evans les ingrĂ©dients nĂ©cessaire pour cette potion
 Je pense qu’elle pourrait se douter de quelque chose
La sorciĂšre resta de marbre en entendant le nom de sa bienfaitrice... il avait raison de se mĂ©fier, elle Ă©tait su genre tenace quand elle se dĂ©cidait Ă  aider quelqu'un. Le genre Ă  s'insinuer dans le moindre de tes pensĂ©es, te forçant Ă  te faire face et Ă  faire face Ă  ses dĂ©mons, leur tenir tĂȘte et les vaincre aussi douloureux cela puisse ĂȘtre. Mieux vallait, pour lui comme pour elle, que Malicia, Miss Evans, ne soit pas au courant. Mais... Ă©tait-elle Ă  mettre le prix pour s'en sortir ? Pour le moment ça avait Ă©tĂ© gratuit et Merlin seul savait Ă  quel point la sorciĂšre aimait ce qui Ă©tait gratuit. Plus radine tu meurs ! D'autant que les rĂ©serves qu'elle allait payer n'allait pas que lui servir Ă  elle, si ?- Merci, accepta-t-elle tout de pire ce n'Ă©tait que quelques galions de perdu. InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Jeu 24 Mar - 1732 Tiens, la sorciĂšre se faisait hĂ©sitante, Ă©vasive, mĂ©fiante, protectrice de ses affaires
 Le sujet du fournisseur semblait bien plus compliquĂ© que ce qu’il pensait
 DrĂŽle d’affaire que tout ceci, drĂŽle de pĂ©trin que tout cela
 Visiblement, la jeune fille avait quelqu’un d’attentif pour veiller sur elle
 L’option des ruelles sombres et glauques de l’AllĂ©e des Embrumes Ă©tait donc Ă  Ă©carter
Ce qui ne rendait cette affaire que plus intĂ©ressante
 Et dangereuse
 Avait-il vraiment envie de faire face Ă  ce fournisseur si prĂ©venant ? Oui. Non. Il tenait Ă  rester
 Comment dire
 Le plus longtemps conservĂ© en Ă©tat de fonctionner. Donc, mieux valait Ă©viter d’outrager un – visiblement – maĂźtre des Potions un peu trop soucieux de la santĂ© de ses amis
 Parce qu’il apprĂ©ciait le fait de boire un grand verre de jus de citrouille le matin
 Beaucoup
N’y pensons plus
 Mais qu’était cet air morose si soudain ? Etait-ce parce qu’il avait Ă©voquĂ© le fait de renflouer ses rĂ©serves ? Oh
Serait-il possible que sa camarade soit aussi grippe-sou que lui-mĂȘme ? C’était fort plaisant de trouver des personnes au caractĂšre semblable au sien
 Quoiqu’il aurait prĂ©fĂ©rĂ© tomber sur un gĂ©nĂ©reux plutĂŽt qu’un parcimonieux
 - Evidemment, je payerai la moitiĂ© des ressources, puisque je suis Ă©galement un consommateur de ce philtre
 »Mieux valait ne pas s’appesantir sur le sujet Ă  chacun ses raisons de consommer ce genre de substance et d’ersatz de quiĂ©tude, aprĂšs tout
 Le Serpentard ne connaissait pas les raisons de sa camarade, mais n’avait pas envie de les connaĂźtre non plus il n’y avait rien qu’il ne supportait moins que quelqu’un qui se mĂȘlait de ce qui ne le regardait pas. En ces occasions, il devenait bien moins aimable, voire persifleur, sarcastique, caustique et Ă©ructeur. Le serpent blessĂ© mord. Pour oublier, il triste existence, quelles tristes pensĂ©es
 Soupirant, le vague Ă  l’ñme, il sortit un des petits carnets Ă  la couverture de cuir qu’il affectionnait, ainsi que sa plume pour noter ce qu’il venait de se passer Rachel Pasca, Serpentard, philtre de paix ». Mmh
 Un peu risquĂ© comme action, il devait faire preuve d’un peu plus de discrĂ©tion
C’est pour cette raison qu’il tira un trait sur ce qu’il venait de noter afin d’y inscrire autre chose La femme de Jacob cherche la paix ». VoilĂ , c’était bien ainsi. Au moins, il ne se trahissait pas ce qui serait fort dommage. Et pour plus de sĂ»retĂ©, il fit disparaĂźtre le prĂ©cĂ©dent message d’un coup de baguette magique. La femme de Jacob cherche la paix ». Etait-ce trop explicite ? Il doutait que quelqu’un comprenne il fallait pour cela ĂȘtre un minimum cultivĂ©, et nĂ©-de-moldu. Devait-il rajouter un sort de dĂ©sillusion pour rendre le tout plus obscur ? Ce ne serait probablement pas trĂšs pertinent
Il finit donc par ranger son carnet, dans une des poches intĂ©rieures de sa cape de sorcier, avant de faire de nouveau face Ă  sa camarade, d’un air de celui qui a encore quelque chose Ă  dire ; de pertinent, de prĂ©fĂ©rence, mais ce n’était jamais concrĂštement avĂ©rĂ©. - On commencera la prĂ©paration de la potion dĂšs que tu auras les ingrĂ©dients en main. De prĂ©fĂ©rence, prends-les de la meilleure qualitĂ© possible pour assouvir mes addictions, je suis prĂȘt Ă  mettre la main Ă  la bourse, mĂȘme si cela me serre le cƓur
 Ou plutĂŽt l’organe de l’avarice
 Le cƓur, le foie, ou la tĂȘte ? J’hĂ©site toujours
 »Il esquissa un sourire lĂ©gĂšrement amusĂ©. AsclĂ©pius aimait bien parler, et faire semblant d’avoir de l’esprit devant les personnes qu’il rencontrait. Plus pour satisfaire son orgueil en vĂ©rifiant qu’il Ă©tait toujours capable d’avoir des paroles et des pensĂ©es retorses, que pour nĂ©cessairement impressionner ses auditeurs potentiels. Question d’amusement personnel
 - Il y a une salle dans les cachots, ajouta-t-il, qui convient tout Ă  fait Ă  la prĂ©paration de potions en tous genres
 Je pense que ce ne serait pas indiscret si nous y allions – pas nĂ©cessairement ensembles. Tu prĂ©fĂšres les concoctions nocturnes ou diurnes ? AprĂšs, tout dĂ©pend de la concordance de nos emplois du temps respectifs
 Murmura-t-il au bout des lĂšvres. » GalatĂ©a PeverellSerpentard Re DerriĂšre un bosquetGalatĂ©a Peverell, le Dim 27 Mar - 1625 La gĂȘne refit surface et pour le contrĂ©, Rachel observa les alentours. Les arbres, la forĂȘt, les oiseaux, le bruit du vent. Tout, du moment qu’elle n’était pas obligĂ©e de supporter le regard d’AsclĂ©pius. Il semblait lire en elle, ou en tout cas essayer de le faire. Le jeune homme ne semblait pourtant ni mĂ©chant ni jureur, mais cela la mettait terriblement mal Ă  l’aise. Avait-elle fait quelque chose de mal ? Non. Alors pourquoi avait-elle si honte lorsque des personnes dĂ©couvraient son petit penchant pour le philtre de paix ? Elle ne faisait de mal Ă  personne, ou au pire seulement Ă  son porte monnaie. Et encore, parce que mĂȘme lĂ , la verte trouvait souvent le moyen d’en Ă©conomiser au maximum. - Evidemment, je payerai la moitiĂ© des ressources, puisque je suis Ă©galement un consommateur de ce philtre
 Rachel haussa les sourcils, surprise. Non, ce n’était pas Ă©vident, pas du tout, mais le geste Ă©tait grandement apprĂ©cier. La logique, aurait mĂȘme souhaitĂ© qu’elle paie tout, au moins pour le service rendu. Bien-sur, elle se garda cependant d’en faire la remarque. Radin-radin, tutu tulululu !- On commencera la prĂ©paration de la potion dĂšs que tu auras les ingrĂ©dients en main. De prĂ©fĂ©rence, prends-les de la meilleure qualitĂ© possible pour assouvir mes addictions, je suis prĂȘt Ă  mettre la main Ă  la bourse, mĂȘme si cela me serre le cƓur
 Ou plutĂŽt l’organe de l’avarice
 Le cƓur, le foie, ou la tĂȘte ? J’hĂ©site toujours
 - Les trois je jeune homme acquiesça un petit sourire auquel Rachel rĂ©pondit. Il Ă©tait toujours plaisant de trouver des points communs entre soi et un inconnu. Naissait alors un sentiment assez agrĂ©able, faisant croire l’espace d’un instant que l’on Ă©tait moins seul. Et puis il y avait pire comme dĂ©faut que d’ĂȘtre radin. Sa propre tante, nettement plus
 extrĂȘme de ce cĂŽtĂ©-lĂ  disait souvent je ne suis pas radine, je suis Ă©conome ». Phrase que Rachel n’avait jamais contredite Ă  haute voix, mais dont elle se moquait bien Ă  chaque fois. Parce que si, quand on fait payer cinq euros par mois pour l’utilisation de la chasse d’eau Ă  une personne que l’on a proposĂ© d’hĂ©bergĂ© en plus d’autre frais Ă©videment, on est radin !- Il y a une salle dans les cachots qui convient tout Ă  fait Ă  la prĂ©paration de potions en tous genres
 Je pense que ce ne serait pas indiscret si nous y allions – pas nĂ©cessairement ensembles. Tu prĂ©fĂšres les concoctions nocturnes ou diurnes ? AprĂšs, tout dĂ©pend de la concordance de nos emplois du temps respectifs
 Tient, visiblement elle n’était peut-ĂȘtre pas la seule Ă  avoir honte de ses travers. Ou Ă©tait-ce dut au fait qu’on pouvait s’imaginer des choses si on les voyait entrer ensemble dans une salle vide ? Rachel laissa planer un petit moment de silence le temps de rĂ©flĂ©chir. DĂ©jĂ , elle ne connaissait pas le terme diurnes », mais si elle en devinait le sens grĂące Ă  la tournure de sa phrase. AprĂšs la question se posait est-ce lĂ©gal de fabriquer cette potion ? La sorciĂšre n’y voyait pas le mal, mais elle ne voyait pas ce qu’il y avait de mal non plus Ă  traĂźner Ă  plus de trois dans les couloirs, pourtant c’était interdit par le rĂšglement. Et si cela l’était, est-ce une bonne idĂ©e de risquer le double de punition en faisant tout cela de nuit ? Rachel ne dormait pas c’est vrai, elle avait le temps, mais pouvait-elle se permettre d’ĂȘtre encore plus fatiguĂ©e que d’habitude ?- De jour c’est mieux. Pour le reste je te laisse choisir, je m’ meilleure chose Ă  faire pour ne pas se faire prendre, Ă©tait de ne pas se cacher. On ne voit jamais ce qui se trouve sous nos yeux et au pire elle Ă©tait bien du genre Ă  prendre toute la responsabilitĂ© sur ses Ă©paules. - De quelle dose on va avoir besoin ?La sorciĂšre ne connaissait pas grand-chose de cette potion, mi Ă  part ses effets sur elle. Autant elle se sentait capable de trouver la liste des ingrĂ©dients toutes seules, autant elle se voyait mal deviner de la quantitĂ© requise ou souhaiter. Car aprĂšs tout le but Ă©tait d’en avoir plein. Assez pour deux et pour longtemps. InvitĂ© Re DerriĂšre un bosquetInvitĂ©, le Lun 4 Avr - 033 HRPG - De jour, mmh ? Effectivement
 Rapport au rĂšglement, tout ça
 Manquerait plus que nous nous fassions surprendre
 Ce serait probablement amusant
 A voir pour qui ensuite
 »Il se tut, incertain de ce qu’il venait de profĂ©rer, se racla lĂ©gĂšrement la gorge, puis sortit de son sac, avec bien trop de prĂ©caution, de quoi Ă©crire et sur ce parchemin vierge, il y inscrivit les ingrĂ©dients nĂ©cessaires Ă  la prĂ©paration de leur joyeuse mixture, tout en rĂ©flĂ©chissant Ă  voix haute, encore une de ses manies de vieux garçon, probablement - Alors
 Il faudrait un ballotin de feuilles d’armoise
 L’idĂ©al Ă©tant qu’elles aient Ă©tĂ©s fraichement cueillies
 Si jamais tu en vois, qui soit endommagĂ©es, n’en prends pas seulement les intactes
 Ensuite
 Un bocal de belladone liquide
 Fais attention Ă  sa provenance j’ai ouĂŻe dire que des Moldus se lançaient sur le marchĂ©, et je prĂ©fĂšre me fier Ă  des alambic sorcier
 Mais passons
 Egalement des racines de gingembre
 Prends-en au moins cinq, les plus odorantes possible
 Pour la pierre de lune, je prĂ©fĂšre la moudre moi-mĂȘme
 Appelle cela une lubie
 Prend des roches de taille moyenne
 Deux, ça devrait suffire, voire trois
 Et enfin, un bocal de sirop d’ellĂ©bore
 MĂȘme consigne que pour la belladone liquide
 »Une fois ceci dit, le jeune homme demeura pensif un instant, avant de tendre le papier comprenant ses indications Ă  Rachel. AsclĂ©pius semblait moins nerveux qu’au dĂ©but de leur rencontre
 Mais pas des plus dĂ©tendu pour autant
 A vrai dire, il Ă©tait plutĂŽt impatient de commencer cette concoction
 Bah oui, trouver un autre droguĂ© avec qui partager ses lubies, forcĂ©ment, ça rapproche ! - Tu peux doubler les quantitĂ©s, au cas oĂč tu souhaiterais t’exercer par toi-mĂȘme par la suite
 Et je pense que nous aurons de quoi tenir un siĂšge, si jamais le Calamar gĂ©ant dĂ©cide de nous attaquer
 »De nouveau, il esquissa un sourire, plutĂŽt amusĂ© par tout ceci, comme un enfant impatient de commettre une grosse bĂȘtise, particuliĂšrement rĂ©jouissante. - J’y pensais, pour cette affaire de concoction diurne
 Il y a des toilettes au deuxiĂšme Ă©tage, qui visiblement ne sont frĂ©quentĂ©es que par un fantĂŽme
 Assez
 Particulier, je crois
 De fait, nous ne risquerons – vraisemblablement pas – d’ĂȘtre dĂ©rangĂ© outre mesure
 Il fit une lĂ©gĂšre pause, le temps de remettre son sac sur son Ă©paule, avant de reprendre. Qu’en dis-tu, Miss Pasca ? L’on s’y retrouve dĂšs que tu as les ingrĂ©dients en mains ? » Re DerriĂšre un bosquetContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Paru le 14 octobre 2019 import_contacts Collection TĂ©moignage, biographie RĂ©sumĂ© DĂ©tails CompatibilitĂ© Autres formats Les temps sont durs, de nos jours, quelques centimes d’économisĂ©s sont astuces pour amĂ©liorer votre quotidien dans tous les domaines alimentation, ameublement, ... ou Comment vivre avec un petit budget pour faire de grandes Ă©conomies ?Je me sers de mon argent pour faire des Ă©conomies et je me sers de mes Ă©conomies pour dĂ©penser de l’argent. Qui n’économise pas en temps voulu manque du nĂ©cessaire au besoin. Lire plusexpand_more Titre Je ne suis pas radine... mais Ă©conome EAN 9782490775873 Éditeur ECHO Editions Date de parution 14/10/2019 Format ePub Poids du fichier kb Protection Aucune L'ebook Je ne suis pas radine... mais Ă©conome est au format ePub check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. Je crĂ©e ma liste d’envies Vous devez ĂȘtre connectĂ©e pour pouvoir crĂ©er et sauvegarder votre liste d’envies cancel DĂ©jĂ  cliente ?Se connecter Pas encore inscrite ?Mon compte Un compte vous permettra en un clin d’oeil de commander sur notre boutique consulter et suivre vos commandes gĂ©rer vos informations personnelles accĂ©der Ă  tous les e-books que vous avez achetĂ©s avoir des suggestions de lectures personnalisĂ©es Livre non trouvĂ© Oups ! Ce livre n'est malheureusement pas disponible... Il est possible qu’il ne soit pas disponible Ă  la vente dans votre pays, mais exclusivement rĂ©servĂ© Ă  la vente depuis un compte domiciliĂ© en France. L’abonnement livre numĂ©rique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! check_circle Chaque mois, bĂ©nĂ©ficiez d’un crĂ©dit valable sur tout le catalogue check_circle Offre sans engagement, rĂ©siliez Ă  tout moment ! L’abonnement livre numĂ©rique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! Vous allez ĂȘtre redirigĂ© vers notre prestataire de paiement Payzen pour renseigner vos coordonnĂ©es bancaire Si la redirection ne se fait pas automatiquement, cliquez sur ce lien. Bienvenue parmi nos abonnĂ©s ! shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! Je ne suis pas radine... mais Ă©conome - E-book - Multi-format Les temps sont durs, de nos jours, quelques centimes d'Ă©conomisĂ©s sont importants. Quelques astuces pour amĂ©liorer votre quotidien dans tous les... Lire la suite 4,99 € E-book - Multi-format Poche ExpĂ©diĂ© sous 2 Ă  4 semaines 11,50 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 4,99 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Les temps sont durs, de nos jours, quelques centimes d'Ă©conomisĂ©s sont importants. Quelques astuces pour amĂ©liorer votre quotidien dans tous les domaines alimentation, ameublement, ... ou Comment vivre avec un petit budget pour faire de grandes Ă©conomies ? Je me sers de mon argent pour faire des Ă©conomies et je me sers de mes Ă©conomies pour dĂ©penser de l'argent. Qui n'Ă©conomise pas en temps voulu manque du nĂ©cessaire au besoin. Date de parution 14/10/2019 Editeur Collection ISBN 978-2-490775-87-3 EAN 9782490775873 Format Multi-format Nb. de pages 76 pages CaractĂ©ristiques du format Multi-format Pages 76 CaractĂ©ristiques du format Mobipocket Protection num. pas de protection CaractĂ©ristiques du format ePub Protection num. pas de protection CaractĂ©ristiques du format Streaming Protection num. pas de protection

je ne suis pas radine mais econome